Il n’est pas très aisé de répondre car les directives nationales ne sont pas totalement univoques sur le sujet.
Dans une foire au question parue le 1303 (soit avant le passage en phase 3) la réponse qui était apportée à cette réponse était qu’il y avait lieu d’envisager un confinement.
A ce moment-là, la recommandation était également d’extraire tout cas suspect des EHPADs ce qui n’est nettement plus le cas depuis la parution du nouveau guide méthodologique qui préconise le contraire sauf signe de gravité.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/guide-covid-19-phase-epidemique-v15-16032020.pdf
La question de l’admission n’est pas reprise dans ce guide méthodologique mais l’ensemble du texte insiste sur le fait qu’il y a d’une part des patients soit COVID +, soit symptomatique sur le plan respiratoire et à qui il faut appliquer un isolement gouttelette (en fait comme il est toujours recommandé de le faire : par exemple en cas de grippe), soit le patient est COVID – et sans signe respiratoire et je ne vois rien dans le texte (ni dans les connaissances scientifiques actuelles) qui pousserait à faire un isolement de 14 jours.
En forme d'exception, si l’établissement qui envoie la personne recense des cas positifs de COVID ayant pu être en contact étroit (> 15 min dans la même pièce) avec le futur résident, je pense prudent de lui appliquer la mesure d’isolement.
Dans une foire au question parue le 1303 (soit avant le passage en phase 3) la réponse qui était apportée à cette réponse était qu’il y avait lieu d’envisager un confinement.
A ce moment-là, la recommandation était également d’extraire tout cas suspect des EHPADs ce qui n’est nettement plus le cas depuis la parution du nouveau guide méthodologique qui préconise le contraire sauf signe de gravité.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/guide-covid-19-phase-epidemique-v15-16032020.pdf
La question de l’admission n’est pas reprise dans ce guide méthodologique mais l’ensemble du texte insiste sur le fait qu’il y a d’une part des patients soit COVID +, soit symptomatique sur le plan respiratoire et à qui il faut appliquer un isolement gouttelette (en fait comme il est toujours recommandé de le faire : par exemple en cas de grippe), soit le patient est COVID – et sans signe respiratoire et je ne vois rien dans le texte (ni dans les connaissances scientifiques actuelles) qui pousserait à faire un isolement de 14 jours.
En forme d'exception, si l’établissement qui envoie la personne recense des cas positifs de COVID ayant pu être en contact étroit (> 15 min dans la même pièce) avec le futur résident, je pense prudent de lui appliquer la mesure d’isolement.
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